Marie Vaux
La nuit tombe doucement.
Je marche dans la rue quand soudain, mon oeil est attiré par quelque chose sur la gauche, et je la vois, elle est appuyée sur une voiture, ses traits sont sombres et tirés et ses yeux brillent d'une noirceur terrifiante. Elle paraît si masculine que les gens dont le regard se pose sur elle doivent la prendre pour un homme.
Mon coeur fait un bond si fort que cela me fait mal.
Je tremble à l'idée qu'elle me regarde,
j'hésite entre lui sourire et la fusiller du regard, quand tout à coup nos yeux se croisent, et j'opte pour la deuxième solution.
Puis je détourne les yeux, je serre très fort la main de ma petite soeur et me mets à marcher très vite.
Un quart d'heure après, alors que je viens de tomber sur le nouvel album de William Sheller, mon front est encore moite et le trou que mon coeur a fait dans ma cage thoracique en bondissant trop fort me fait encore mal.
Encore un tas d'autres choses à dire... Mais je ne me sens pas bien pour écrire quand j'entends les soupirs de ceux qui ont hâte que je quitte leur chambre...
Je marche dans la rue quand soudain, mon oeil est attiré par quelque chose sur la gauche, et je la vois, elle est appuyée sur une voiture, ses traits sont sombres et tirés et ses yeux brillent d'une noirceur terrifiante. Elle paraît si masculine que les gens dont le regard se pose sur elle doivent la prendre pour un homme.
Mon coeur fait un bond si fort que cela me fait mal.
Je tremble à l'idée qu'elle me regarde,
j'hésite entre lui sourire et la fusiller du regard, quand tout à coup nos yeux se croisent, et j'opte pour la deuxième solution.
Puis je détourne les yeux, je serre très fort la main de ma petite soeur et me mets à marcher très vite.
Un quart d'heure après, alors que je viens de tomber sur le nouvel album de William Sheller, mon front est encore moite et le trou que mon coeur a fait dans ma cage thoracique en bondissant trop fort me fait encore mal.
Encore un tas d'autres choses à dire... Mais je ne me sens pas bien pour écrire quand j'entends les soupirs de ceux qui ont hâte que je quitte leur chambre...
Ecrit par mailliw, le Dimanche 26 Novembre 2006, 20:40 dans la rubrique Actualités.
Commentaires :
ciorale
Je l'ai entendu Scheller. Cà devait être sur France 4, un soir où j'étais plongée dans un plan de commentaire... :(
Avant ou après Jeanne Cherhal. J'ai doublement pensé à toi.
Et voilà. Voilà. Voilà. Voilà. Elle passe à Paris et j'ai pas d'argent pour la voir...
BzOo.